L’histoire commence depuis quelques jours à faire de plus en plus de bruit au fur et à mesure que nous apprenons les récits et les témoignages de cet enfer vécu par des jeunes filles âgées parfois de 11 ans. Il est difficile d’avoir un décompte très précis du nombre de victimes, en revanche le profil des coupables est très simple. Une énorme majorité de Pakistanais qui voulaient se faire des « impurs », des « personnes blanches ».

Cela fait plusieurs années que des alertes ont été émises auprès de toutes les branches de l’état, y compris la police, les services sociaux, les médias.

Alors pourquoi ces viols ont-ils pu continuer durant des années ?

L’explication se trouve dans la peur d’être accusé de « racisme » et de venir secouer le politiquement correct. Plusieurs témoignages nous expliquent que les alertes, les signalements ont très souvent été classés sans suite par peur. Par exemple, lorsqu’une jeune fille a été retrouvée nue dans une maison avec 4 Pakistanais qui la faisaient boire et la violaient, c’est la jeune fille qui a été embarquée pour ivresse. De la même manière, un journaliste du Times s’est demandé « avec quel degré d’honnêteté peut-on traiter cette histoire car c’est l’histoire rêvée pour l’extrême droite ».

La morale de cette histoire, que nous n’aurions jamais pensé être possible en Europe de nos jours, est que la paralysie morale exercée par la gauche ainsi que l’opprobre jetée à ceux dénonçant les liens entre immigration et insécurité a joué un rôle considérable sur la gravité des faits et le nombre de jeunes filles blanches victimes.

La gauche a une responsabilité historique dans l’omerta générale sur cette affaire.

Il est de notre ressort d’en parler, de nommer les coupables et d’en tirer les conclusions nécessaires, sans quoi nous laisserons la porte ouverte à de nouveaux cas similaires.

Enfin, on peut se demander quelle est la situation en France ? Sommes-nous sûrs que cela ne se déroule pas également dans notre pays ?

L’histoire nous jugera. Cette horreur doit devenir un cri d’alarme.